Cet article s’interroge sur la place consacrée par le Coran à la liberté et, particulièrement, à la liberté de croyance. Loin de prétendre à l’exhaustivité, le texte voudrait prouver que la liberté de croyance, dans le Coran, est une exigence intimement liée à la volonté et à la sagesse divine et ipso facto elle ne saurait être abrogée. Il appelle à une nouvelle exégèse du Coran capable de surmonter les impasses de l’exégèse traditionnelle, à soumettre le patrimoine islamique à la critique et à un nouvel ijtihad multidisciplinaire.
En train de feuilleter : Textes musulmans
Le Ramadan confiné a donné un coup d’arrêt brutal à notre quotidien toujours pressé par la culture des fausses urgences, stressé par le culte de performance et déstabilisé par la tyrannie de la logique marchande. Un ramadan confiné non rempli d’activités, de rencontres, de courses, de consommation…, est une chance pour expérimenter la vérité de la vie humaine et réaliser que celle-ci se vit dans la profondeur de chacun, dans le service des autres.
Une conférence a été organisée du lundi 25 au mercredi 27 janvier à Marrakech par le ministère des affaires islamiques et le Forum pour la promotion de la paix dans les sociétés musulmanes.
Nous reproduisons ci-dessous d’une part le texte intégral du message adressé par SM le Roi Mohammed VI aux participants au Congrès sur “Les droits des minorités religieuses en terre d’Islam dont lecture a été donnée par le ministre des Habous et des affaires islamiques, M. Ahmed Toufiq, lors de la cérémonie d’ouverture de ce Congrès placé sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, Amir Al-Mouminine., et d’autre part la déclaration finale, déclaration de très haute importance, puisque 300 responsables musulmans, venus de plus de 120 pays défendent publiquement les droits des minorités religieuses en terre d’islam.
Par Dr. Karim IFRAK, Gric Paris
Qui était donc Noé ? Quelle fut sa mission ? Vers qui fut-il dépêché ? Quel fut le dénouement de son histoire ? Comment et pourquoi, etc. ? Autant de questions auxquelles le Coran s’attacha, en observant une démarche synchronique intrigante, à apporter plusieurs éléments de réponses
Le Recteur de la Grande Mosquée de Lyon et le Président du CRCM Rhône-Alpes prennent position face à la situation vécue par les Chrétiens d’Orient
On peut, par conséquent, observer que la polémique que Calvin engage avec l’islam se caractérise par un certain nombre d’éléments, que l’on peut résumer de la manière suivante :1. Calvin reprend comme ses contemporains chrétiens l’affirmation coranique d’une filiation directe à Abraham, par son fils Ismaël, sans la contester. 2. Dans cette filiation, il retient le deuxième élément dépréciatif, qui est qu’Ismaël est le fils de la servante Agar, alors qu’Isaac est le fils de l’épouse légitime et libre, Sara. 3. Calvin, même s’il reconnaît le lien génétique des Arabes à Abraham, il ne leur reconnaît aucun lien spirituel, celui-ci étant réservé aux Chrétiens réformés. 4. Certaines pratiques musulmanes montrent que l’Islam est très proche du judaïsme et du papisme. En ce sens il constitue aux yeux de Calvin une fausse religion. Enfin la critique à l’égard de l’islam, confondu avec le judaïsme et de l’Eglise catholique, porte constamment et de manière récurrente une critique du christianisme papiste comme si la critique de l’islam offrait à Calvin une occasion supplémentaire de critiquer son plus grand ennemi, le pape de Rome.
Au nom de Dieu, le Compatissant, le Miséricordieux, Paix et Bénédictions sur le Prophète Muhammad LETTRE OUVERTE À SA SAINTETÉ LE PAPE BENOÎT XVI Au nom…
Au Nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux A l’occasion du Eid al-Fitr al-Mubarak 1428 A.H. / October 13th 2007 C.E., et à l’occasion du Premier…