Du 13 au 15 septembre 2022, le pape François était au Kazakhstan, pays à majorité musulmane, pour participer au VIIe Congrès des chefs des religions mondiales et traditionnelles. La rencontre a eu lieu à Nur-Sultan, anciennement Astana et capitale du Kazakhstan dans le but de rassembler des « Messagers de paix et d’unité ». Ce VIIe Congrès a pour thème « le rôle des responsables des religions mondiales et traditionnelles dans le développement socio-spirituel de l’humanité dans la période post-pandémique ».
Auteur/autrice : Gric International
Bonne fête de l’Aïd à tous les musulmans
La Fondation de l’Islam de France (FIF) a le plaisir de vous convier à une conférence publique, mercredi 29 juin à 19h, au Collège des Bernardins consacrée à l’histoire et au présent des Chrétiens d’Orient.
Ce colloque sera l’occasion d’interroger l’altérité confessionnelle en contextes islamiques ; un enjeu majeur de civilisation. Avec la participation de Charles Personnaz, Christian Makarian et Ghaleb Bencheikh
Cet article s’interroge sur la place consacrée par le Coran à la liberté et, particulièrement, à la liberté de croyance. Loin de prétendre à l’exhaustivité, le texte voudrait prouver que la liberté de croyance, dans le Coran, est une exigence intimement liée à la volonté et à la sagesse divine et ipso facto elle ne saurait être abrogée. Il appelle à une nouvelle exégèse du Coran capable de surmonter les impasses de l’exégèse traditionnelle, à soumettre le patrimoine islamique à la critique et à un nouvel ijtihad multidisciplinaire.
Dans un monde où le politique se confond avec le religieux et constitue son corollaire, il n’est pas facile pour l’observateur soucieux de saisir les paradoxes de cette réalité, d’exploiter l’arsenal des idées surgies de tout bord, spécialement celles susceptibles de contribuer à la libération de l’esprit et à l’avènement de la nouvelle société arabe démocratique qui pense l’être et l’être avec, avec des schèmes nouveaux.
Zarzis. C’est un cimetière, un coin de paradis pour les migrants, les désespérés de la mer que le monde ne veut pas et la mer non plus
Eduquer à la tolérance dans le sens ghazalien et rushdien est un phénomène inédit dans l’histoire de l’islam culturel qui, confirmé en religion divine, invite l’être humain à l’interroger, à l’exploiter, à l’explorer, à foncer dans la genèse des mots, pour nantir le patrimoine culturel et philosophique de la lumière de la raison qui nous rapproche de la « Vérité »
La Bible et le Coran nous parlent de deux personnages confinés, sur une mer déchainée. Ils ont en commun une colombe, mais Noé est en très nombreuse compagnie dans l’arche, alors que Jonas est seul dans le ventre du grand poisson. Ce sont les péripéties et les enseignements de l’histoire de ce dernier que nous nous proposons de suivre, en nous demandant s’ils ont quelque chose à nous dire pour aujourd’hui.
C’est devenu un lieu commun de l’affirmer : Depuis quelques décennies la société tunisienne n’a cessé d’être agitée de convulsions. De profonds bouleversements ont affecté l’ensemble de l’édifice social. Une crise profonde s’est progressivement installée et se décline comme une triple crise : crise du sens, du lien social et du projet de société. La crise de l’autorité, dit-on, est partout. Celle de l’autorité éducative n’est pas la moindre car elle mine la capacité à vivre ensemble.
Les formes d’autorité, traditionnellement considérées comme légitimes, sont de plus en plus remises en question : parents, enseignants et autres acteurs éducatifs ont de plus en plus de difficultés, à poser des limites aux jeunes.
L’érosion de la confiance s’est aggravée après la révolution. La classe politique s’est révélée incapable de prouver aux jeunes (meneurs de cette révolution) que les sacrifices d’aujourd’hui préparent les satisfactions de demain.
La crise du projet sociétal et la panne de futur se sont accompagnées par un phénomène sans précédent : on a vu naitre des lieux d’emprise, au sein desquels se sont développées des formes concurrentes d’autorité bien plus aliénantes que celles remises en question. Il s’agit essentiellement de la soumission des jeunes tunisiens à l’emprise de l’idéologie et des groupes djihadistes.
L’annonce du décès de l’archevêque émérite d’Alger, Monseigneur Henri Teissier, le 1er décembre à l’âge de 91 ans, dans sa ville natale de Lyon, a suscité une très vive émotion