Auteur/autrice : Gric International

Chrétiens de la méditerranée , réseau citoyen des acteurs de la Paix, a organisé les 17, 18 et 19 mars 2023 sa traditionnelle Université d’Hiver grâce à une co-organisation fructueuse avec l’Université Catholique de Lyon et un de ses responsables, Michel Younès, grâce au partenariat de l’Œuvre d’Orient, de Pax Christi et des amis de la Vie de Lyon.
Nous reproduisons ici le texte d’un des intervenants, celui du frère Gabriel Nissim,op, paru sur le site : https://www.chretiensdelamediterranee.com

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Nous sommes conscients, que la coexistence pacifique et amicale est confrontée à de nombreux défis et menaces : l’extrémisme, le radicalisme, les polémiques, les disputes et la violence à motivation religieuse. Ces menaces sont alimentées par une culture de la haine. Nous devons donc trouver les moyens les plus appropriés pour contrer et vaincre une telle culture, en renforçant plutôt l’amour et l’amitié, en particulier entre musulmans et chrétiens grâce aux liens qui nous unissent.

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Dans un Liban secoué par une crise économique dévastatrice et par une énième paralysie du système politique, en la fête de l’Annonciation du Seigneur, chrétiens et musulmans invoquent à nouveau ensemble la Vierge Marie, pour demander que la Mère de Jésus aide le peuple libanais à guérir de ses blessures et à sauvegarder la coexistence nationale, sociale et religieuse.

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Lorsqu’on interroge les textes de la théologie musulmane traditionnelle sur le statut de la femme en Islam, force est de constater qu’il y a un consensus quasi général des Ulémas, qui sont les docteurs de la Loi, sur le statut inférieur de la femme par rapport à l’homme. Pourtant certaines voix discordantes apparaissent régulièrement et contestent cette lecture infériorisante de la femme, en se situant à l’intérieur même de la jurisprudence musulmane, pour appeler , sinon à une égalité homme –femme, du moins à un meilleur statut de la femme. Soucieux de donner à ses réformes une assise théologique solide, Bourguiba, conscient qu’il fallait mettre fin à cette injustice, s’appuiera sur ces voix discordantes pour faire accepter son code du statut personnel, par les Tunisiens, en 1956.

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